Contrairement aux poches de glace ou aux bandeaux réfrigérants classiques, Coold utilise la cryothérapie à température contrôlée. Elle permet de maintenir, sur une longue durée, une température comprise entre 10° et 15° C. C’est seulement à ce niveau de température que l’effet antalgique, anti-œdème et anti-inflammatoire se produit et calme les symptômes courants après une intervention buccale (douleur, gonflement).
Voilà pourquoi la glace traditionnelle, les gels et autres sacs de petits pois congelés sont inefficaces car le froid prodigué, non régulé, perd rapidement de son intensité (au bout d’une vingtaine de minutes).
Il ne peut donc pas atteindre les fibres les plus profondes, responsables de la transmission de la douleur…
La restitution du froid se déroule sur une longue période grâce aux palettes grand format.
Également amovibles, celles-ci permettent de diriger le traitement, soit sur l’ensemble de la mâchoire dans le cas d’extraction des quatre dents de sagesse par exemple, soit sur une zone bien particulière si l’intervention n’a eu lieu qu’à droite ou à gauche.
Vous n’aurez aucune difficulté à ajuster les deux palettes réfrigérantes et la housse protectrice pour former votre masque : c’est simple et rapide.
La preuve en image avec le tutoriel vidéo ci-contre.
Une fois monté, il vous suffit de positionner le masque Coold sur votre visage et de l’attacher.
Veillez à placer la fermeture-éclair de la housse à l’extérieur du masque : sinon, elle va appuyer sur vos joues sensibilisées !
Consultez le mode d’emploi avant tout usage.
Combien de fois allez-vous utiliser le masque Coold ?
Probablement 1 seule fois, les quelques jours qui vont suivre votre intervention et durant lesquels l’inflammation et sa douleur vont se faire sentir.
Ensuite, vous n’en n’aurez plus l’utilité.
Alors, parce que faire un peu, dès qu’on le peut, pour l’environnement compte beaucoup pour nous, nous avons imaginé ce mode de diffusion.
Plutôt que jeter ou oublier Coold, le réutiliser à l’infini permet d’ajuster l’offre à la demande et d’optimiser ainsi la production de masques.